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La perte de notre optimisme est-elle la plus grande menace pour l'environnement ?
L'écologie est une pratique exigeante et un brin volontariste. Et, par les temps qui courent, avec l’actuel recul des engagements et des ambitions sous la pression de crises multiples, il faut s’accrocher !

Bonjour, c’est Vincent,
Comme le dit mon ami Benoit avec un sourire ironique, « L’écologie joyeuse, c’est une ascèse… » Une pratique exigeante et un brin volontariste… Et, par les temps qui courent, avec l’actuel « backlash écologique » – le recul des engagements et des ambitions sous la pression de crises multiples -, il faut s’accrocher…
Je voudrais pourtant vous partager notre conviction intime : à court terme, la plus grande menace n’est ni Trump, ni Poutine, mais de perdre notre optimisme, notre force vitale, notre envie d’agir…
Ces derniers jours, j’ai rencontré des scientifiques, des dirigeants et des acteurs associatifs à l’énergie contagieuse, tous proactifs :
Olivier, dirigeant du grand cabinet de conseil BCG, m’a confié que l’adaptation des entreprises au réchauffement climatique demeure bien une priorité, pour une raison simple : l’inaction coûte trop cher et c’est le meilleur argument...
Walter, fondateur d’OpenLande à Nantes, vient de réaliser une belle levée de fond pour déployer son savoir-faire dans l’accompagnement des territoires dans la transition. Et il fonce avec son équipe. Capucine, investie au sein du C3D, travaille sur un projet qui suscite l’enthousiasme autour du « leadership féminin » dans la transition…
La leçon est limpide : c’est dans la société civile – et donc autour de nous - que nous pouvons puiser la meilleure des énergies, et se reconnecter à son pouvoir d’agir.
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